Emily the Strange

Aujourd'hui je vais vous parler d'une lecture spécial Halloween : Emily the Strange

Qui est Emily ?

Après tout, elle et moi, on a quelques points communs...
Emily aime les chats.
Emily fait toujours des rêves. Très. Bizarres !
Emily ne va pas à l'école.... Enfin, elle fait l'école "à la maison" !
Emily aime bien donner des surnoms aux gens.
Emily n'aime pas les endroits plein de gens bruyants/ bavards/ inintéressants... Elle préfère rester avec ses chats...
Emily tient des carnets dans lesquels elle raconte tout ce qu'elle fait (et ne fait pas !)

Mais s'il y a bien une chose qui prouve qu'elle est au combien différente de moi, c'est qu'elle est loin, elle, d'être une froussarde !

Bref, tout ça pour vous parler de son livre, ou plutôt de sa quadrilogie, qui se présente sous la forme des journaux intimes d'Emily. C'est vraiment super à lire car on est transporté par l'humour (noir) d'Emily et ces aventures sont toujours très... Étranges !

Un petit résumé du 1er tome pour vous donner une idée :
Emily est frappée d'amnésie. Elle se réveille un jour sur le banc d'une petite ville paumée, sans aucun souvenir sur elle ni sur son passé... Elle ne sait plus comment elle s'appelle, où elle vit, ni pourquoi elle est ici. Elle part à la recherche de son identité dans la petite ville (au nom étrange de Blackrock), se présentant sous le nom d'Earwig. Elle se fait embauché dans l'étrange café El Dungeon, tenu par une serveuse un peu à l'ouest répondant au nom de Raven. Avec l'aide de quatre chats noirs, elle parcourt la ville à la recherche d'indices sur elle-même et espionne tous les clients d'El Donjon cachée derrière le comptoir...

Et un petit extrait qui, je trouve, colle bien avec Halloween:

"Le rêve était centrée sur un gigantesque morceau de bonbon noir en fusion doté de pouvoirs, enseveli sous El Dungeon. Le morceau projetait des tentacules en sucre invisibles et incontournables qui me donnaient envie de le les toucher.  J'étais tentée, mais dès que je les effleurais je sentais mon taux de sucre monter si violemment que j’avais mal aux molaires. Je savais que ce gros bonbon noir était à moi et que je devais le protéger[...]Heureusement, les tentacules ont fini par mourir une par une, la petite flaque de bonbon liquide souterraine s'est écoulée et j'ai compris qu'au moment où la dernière goutte s'évaporerait mon cœur cesserait de battre et je ne pourrais plus respirer. Le FAIT est que mon cœur s'est arrêté, je me suis réveillée en hurlant "AIEE!" et les chats se sont écartés de moi d'un bond avant de détaler.
Wouah! je sens que mon cœur bat à toute vitesse rien qu'en écrivant. 
A vrai dire.
ça fait quand même du bien.
Au fond, j'aime bien les cauchemars."